dimanche 27 décembre 2009

Noël 2009



Une nouvelle année va commencer, je vous souhaite à tous des instants de joie et de bonheur au milieu des soucis quotidiens
Christiane

mercredi 23 décembre 2009

NOEL 2009

Chantal, Marie-Pierre, Judith, Violaine, Samuel....................lanombreuse famille de Pierrot spuhaite à tous un joyeux noël

mardi 27 octobre 2009

dimanche 18 octobre 2009

Mémoire

La mémoire de notre frère Pierre sera évoquée lors de la messe pour les défunts célébrée le 2 novembre 2009 à l'église Saint Nicolas de Pertuis.
Nous aurons une pensée pour lui.

mercredi 2 septembre 2009

Anniversaire

http://picasaweb.google.fr/najigarcin/AnniversaireMarie18Ans#

Marie a 18 ans.
Nous avons fête cet évènement chez Sabine

vendredi 28 août 2009

Jardinage

Je suis trés fière de ma production , 500et 600 grammes de tomate sur la table.

christiane

mercredi 26 août 2009

Souvenir

ALBERT GARCIN, boulanger de Peypin et Résistant du Maquis du Luberon.

Albert, fils de Marie et de Julien, époux d’Henriette et père de Régine, était engagé dans la Résistance alors que la France vivait sous Vichy et l’occupation allemande. Il meurt, lors d’une mission, le 17 août 1944, avec d’autres maquisards sur la route entre Saint-Martin de la Brasque et La Tour d’Aigues . Chaque année, une cérémonie a lieu, le dimanche qui suit le 17 août, sur le lieu où sont morts les Résistants, et où été érigée une stèle à leur mémoire. Cette année, le discours qu’avait prononcé le maire de Peypin en 1945 à été lu dans son intégralité. Le voici :


Mesdemoiselles, Mesdames, Messieurs, chers amis


Le 17 août 1944, il y a maintenant un an aujourd’hui, en ce même point où nous nous trouvons réunis, quatre des nôtres, du Mouvement de la Résistance, dont trois du groupe de Peypin d’Aigues, tombaient, victimes de leur dévouement. Partis de Peypin d’Aigues en automobile sur un ordre supérieur et se rendant à La Tour d’Aigues, ils furent mitraillés par un avion.
L’un d’eux transporté immédiatement à Manosque nous est resté inconnu. Nous unissons sa mémoire sacrée à celle de ses camarades.
Le deuxième c’était DANTE GIORDANO venu quelques mois auparavant de Marseille à Peypin d’Aigues pour soustraire sa famille aux dangers des bombardements. Il s’était joint d’enthousiasme à notre mouvement mettant sa voiture à notre disposition. Puis, il était rentré à Marseille où il était réquisitionné pour transporter les officiers.. Le 16 août, il pressentit que l’heure d’agir avait sonné. Trompant adroitement la surveillance du planton allemand qui l’accompagnait et le surveillait, il avait gagné le large se dirigeant vers Peypin d’Aigues, coupant à travers champs lorsqu’un barrage coupait la route, s’engageant au mépris du danger sur le pont de Cadenet, et arrivant à Peypin d’Aigues, heureux d’avoir sa propre voiture dans laquelle il transportait ses propres camarades.
Le troisième, hélas, était notre bon, notre cher ALBERT GARCIN, notre brave Bébert.
Récemment installé comme boulanger dans son pays natal avec sa jeune femme, son foyer venait d’être embelli par la naissance d’un magnifique bébé qui promettait à la famille la continuité et la prospérité. Intelligent, actif, dévoué, Albert avait été placé à la tête d’une des trois sections que comportait notre Groupement.
Généreux et fraternel, il apporta au Maquis un concours dévoué, fournissant sans compter, les corbeilles de pain aux réfractaires. Méprisant le danger, il ne reculait devant aucune mission, et c’est ainsi qu’il avait immédiatement répondu présent à l’appel qui devait le conduire à la mort.
Enfin, le dernier, c’était le chef lui-même : c’était ANDRE ARNIAUD, notre toujours regretté Dédé dont la perte a causé dans la vie du village un vide douloureux que chacun a ressenti et que rien n’a comblé. On avait apprécié depuis longtemps sa vive intelligence, un enthousiasme pour tout ce qui lui semblait grand et généreux.. Ce 17 juin 1040, son cœur de français avait été profondément blessé par la voix chevrotante du sinistre vieillard annonçant la demande d’Armistice conclu, disait-il, dans l’honneur et qui, en réalité, consacrait le déshonneur et la honte de la France..



Mais dès le lendemain, André entendait une autre voix, une voix venue d’Outre-Manche, qui affirmait
, avec force, que " si la France avait perdu une bataille, elle n’avait pas perdu la guerre ", que les mêmes amis qui avait fait la force de l’Allemagne pouvaient se tourner contre elle. Cette voix, retentissante et prophétique, la voix du Général De Gaulle sonnait à travers l’espace, le ralliement des forces saines du pays pour mener la lutte contre l’envahisseur. Elle trouva, dans l’âme d’André, un écho immédiat. Il se mit à l’œuvre consultant ses camarades, les exhortant, les exaltant, organisant ensuite son groupement qui se trouve bientôt composé de gars solides et résolus.
A ce moment, le Luberon se peuple de maquisards venus d’un peu partout. André se dépensera sans compter et piégeur d’une adresse remarquable, il connaissait tous les sentiers, tous les rochers, toutes les combes de la montagne. Admirablement secondé par sa jeune femme, il ravitaillait et dirigeait souvent les bandes de réfractaires. Il était cependant lui-même obligé à la plus grande prudence.
Dénoncé par le couple infâme auquel Vichy avait livré la commune de Peypin, il lui arrivait souvent de voir surgir devant son habitation une auto. C’était la Gestapo ou la Milice.
André disparaissait aussitôt et gagnait le maquis et cela avec beaucoup d’autres patriotes comme lui. Tout le monde, à Peypin, savait cela. On savait aussi qu’André, sans ambition personnelle, n’obéissait qu à son devoir. Aussi, malgré sa jeunesse, était-il écouté et obéi, même par les plus anciens.
Un de ses plus beaux jours de Résistant fut celui où il distribua les armes à son groupement.
Un instructeur spécial vint enseigner clandestinement la manière de s’en servir. Ce jour-là, André fit de magnifiques projets. Il ne devait, hélas ! les réaliser : la mort l’a fauché en pleine action.
Familles affligées, soyez fières de son épouse, de vos frères, de vos enfants : ne reculant devant aucun danger, ils ont héroïquement accepté de remplir leur devoir pour la libération de la Patrie. Toute notre sympathie et notre reconnaissance vous sont acquises.
Cet endroit où sont morts nos camarades, est désormais sacré. Déjà, le jour de la Victoire, nos voisins et amis de Saint-Martin sont venus y déposer des fleurs. Qu’ils soient remerciés pour ce geste pieux et fraternel.
A notre tour, nous le consacrons par l’érection de ce monument que nous nous proposons d’entretenir et d’embellir. Pour cela je fais appel aussi à la Municipalité et au Comité de Libération de Saint-Martin, le Monument reposant sur son territoire, de bien vouloir y veiller avec soin. Il rappellera aux passants et aux générations futures, la mémoire des enfants de Peypin morts au service de la Patrie. Il sera comme un symbole de la guerre du Maquis dans notre région, comme un symbole aussi de l’union qui régnait entre les maquisards.
Ils ne s’embarrassaient pas des discussions politiques, encore moins des jalousies personnelles : tous marchaient d’un même cœur, animés d’une même pensée : la Libération de la Patrie. Etroitement unis dans la vie, ils l’ont été plus étroitement encore dans la mort.
Puisse leur exemple ne pas être perdu ; qu’aux heures agitées que nous vivons, on évoque la mémoire de nos héros, que le souvenir de leur sacrifice fasse taire les passions et nous soit une leçon de patriotisme, pour que plus grande, plus noble et à jamais immortelle :
VIVE LA FRANCE

mardi 16 juin 2009

La famille et " la boulange "

Avant la Révolution, le pain devait être cuit dans le four banal appartenant au seigneur et un pain sur quarante était donné au seigneur.La liberté de la boulangerie est acquise au début de vingtième siècle.
A Peypin, un four construit en 1799 doit être reconstruit en 1841.
Une société civile de 57 habitants achète l’ancien four. Dans la liste figure notre aïeul, Joseph Silvestre, propriétaire cultivateur et également un " Garcin ", cultivateur.
Ce four sera ensuite démoli et reconstruit après la guerre de 70 pour permettre la construction de la route qui traverse le village.
Le dernier four du village, construit en 1914, était toujours gérer par la société des habitants du village. Ce four était baillé à ferme. Régine pourra nous donner des détails puisque Albert, son père en était devenu propriétaire.
Ce four a fonctionné jusqu’en 1961.
Au début du siècle, le prix du pain était adapté à la condition des familles et Julien avec sa famille nombreuse était bénéficiaire de cette mesure

Une petite pensée pour Roger Goulin, notre dernier boulanger.

dimanche 10 mai 2009

Pique-nique à Vidalet


Une partie de la famille "Hippolyte"
Au premier rang :Olivier, Mireille, Lisa, Céline
Au second rang : Nicale, Dédée, Cécile, Mériem, Sabine, Christiane, Marie,Marie-Pierre, Mathieu
Au dernier rang : Yvan, Nicolas, Julien, Samuel, Alain, Claude (le copain de Sabine)






Ma petite famille presque au complet !



Petite réunion de famille pour marquer mon passage dans une autre décennie

Christiane

samedi 2 mai 2009


Un futur paysan ?



Les petits cousins en plein travail

vendredi 17 avril 2009

Les "petits Maurin"

A gauche, le fils de Pauline
Au milieu, le fils aîné de Victor et à droite son petit frère .

mercredi 4 février 2009

Les Silvestre

Je reprends le cours de notre histoire, mais à partir de là, toutes les recherches m’incombent. Si erreur il y a, merci de me le dire.



Nos aïeux " Les Silvestre "

En 1812, Anne Cavalier épouse Joseph Silvestre. Joseph est le fils de Jean Baptiste Silvestre, le premier de cette branche de notre famille. Jean Baptiste a une histoire plutôt sombre.Lorsqu’il épouse Thérèse Briançon, le 22 juin 1789, nous sommes à la veille de la Révolution.L’acte de mariage , très difficile à déchiffrer, précise qu’il vient des hôpitaux de Marseille et qu’il a vécu 12 ans dans la commune de Viens.
L’acte de décès,(2 juin 1825), le nomme " Jean Baptiste Blanc, dit Silvestre ". Il a alors 66 ans, il est donc né en 1759, abandonné ou orphelin. Comment est-il arrivé à Viens à l'âge de 18 ans, nous ne le saurons jamais.
Son épouse, Thérèse Briançon a 28 ans ; elle est née à Peypin et je pense que sa famille vient du village de Monieux dans le vaucluse. Je dois poursuivre les recherches dans cette voie.
Le couple part vivre à Viens . Joseph Silvestre y né l’année suivante. Je n’ai pas l’acte de naissance (à aller chercher aux archives départementales du Vaucluse à Avignon), mais cette naissance est confirmée dans l’acte de naissance de son premier enfant, Jean Joseph(15 fevrier 1815). Joseph et Thérèse reviennent à Peypin, car le 9 janvier 1793, Thérèse met au monde un autre enfant qui ne vivra qu’un jour. Et là encore je me trouve devant un autre mystère, ce deuxième enfant se nomme lui aussi Joseph. On trouvera peut-être la réponse en lisant l’acte de naissance du premier enfant.
Le couple a d’autres enfants :
Charles, né en 1795 (an IV) et qui ne vivra que deux mois.
Jean Baptiste François, né en 1798 (anVII). Je n’ai pas retrouvé l’acte de décès ; il est peut-être aller chercher fortune ailleurs.
Catherine Thérèse, née en 1806 et qui ne vivra qu’un an.

Jean Baptiste décède en 1825 à l’âge de 66 ans et Thérèse en 1839 . Elle avait 78 ans.


A bientôt
christiane

vendredi 23 janvier 2009

La doyenne de la famille


Denise, fidèle au poste mais un peu endormie aprés avoir fété noël

mercredi 7 janvier 2009

Neige

A Peypin, le matin du 7 janvier



Sur la terrasse de Céline à Marseille, le 7 janvier.